Poésie
A ce jour, ma poésie voyage au fil de neuf recueils.
Premier recueil édité: 'Le silence éclaté'.
Anthologie éditée 'L'odyssée d'un intime dialogue' intégrant les quatre recueils suivants : 'Sur le chemin des lucioles', 'L'ultime étreinte', 'Les abysses du mot' et 'L'odyssée d'un intime dialogue'. Cette anthologie est disponible au prix de 15€ (pour passer commande merci de m'envoyer un message avec vos coordonnées postales dans la rubrique 'Me contacter' de ce site).
Autre ouvrage édité : 'Le courage d'aimer' qui contient les deux receuils 'Le courage d'aimer' et 'Le temps d'un haiku'. Cet ouvrage est disponible au prix de 18€ (pour passer commande merci de m'envoyer un message avec vos coordonnées postales dans la rubrique 'Me contacter' de ce site).
Deux nouveaux recueils 'Résonance' et 'Sanctuaire intime' seront édités prochainement.
Illustration peinture de Michel BENARD
'Couronné par le Prix Thibault de Champagne, Le silence éclaté, premier recueil de Salima FEDDAL s'annonce déjà comme la promesse d'une semence généreuse. Salima FEDDAL s'abreuve aux sources originelles, aux racines minérales de la mémoire de sables. Ses mots, ses images qu'elle saupoudre parcimonieusement contiennent cette volonté de fertiliser les coeurs trop secs, de féconder dans l'aridité de l'esprit des oasis de rêves et de beauté. Mirages éternels, l'espérance et l'amour sont confiés au vol fragile de l'oiseau migrateur, chaque signe se donne pour mission d'égréner dans l'espace des fragments de bonheur que Salima FEDDAL tisse patiemment comme un tapis de haute laine. La liberté de l'écriture laisse place à une image qui révèle un mélange de parfums des hauts plateaux, de désert et de sel marin. Salima FEDDAL éveille en elle tous les silences de la sagesse ancestrale, réminiscences nomades qui seules peuvent permettre de comprendre la valeur véritable d'une goutte d'eau, du miracle, de la floraison après l'orage. Afin de mieux nous abreuver d'eau, de miel et de fruits des palais, Salima FEDDAL nous aide à mieux extirper de la matrice aride du désert pour peut-être mieux nous 'restituer l'élan du sang ancestral qui irriguera nos jouissances'.
Ce Silence Eclaté est la voix qui sait que la poésie est une échelle où l'homme se doit de retrouver sa source originelle. La luminosité d'âme d'une femme repose entre ces pages, à vous d'être le vitrail qui en glorifiera le rayonnement.'
Michel BENARD
Michel BENARD, poète, peintre, essayiste, lauréat de l'Académie Française, chevalier des Arts et des Lettres, administrateur de la Société des Poètes Français, fut la première personne à m'encourager spontanément à publier ma poésie au travers de ce recueil 'Le Silence Eclaté'.
Vital HEURTEBIZE, Président des Poètes sans Frontières, résume de façon sublime ce je pense de Michel BENARD : 'Tout à la fois poète et peintre, Michel Bénard conjugue admirablement ces deux modes d'expression artistique et on finit par ne plus savoir qui du peintre ou du poète a composé les oeuvres qu'il nous offre. Il faudrait presque dire qu'il utilise pour s'exprimer, les "mots de la peinture" et les "couleurs de la poésie", tant les deux sont étroitement imbriquées. On pourrait y ajouter la musique !
C'est ainsi que dans un langage pictural, Michel Bénard nous entraîne vers des sommets où l'air se purifie à ce point qu'il deviendrait irrespirable, si nos modestes inspirs ne faisaient l'effort de s'expanser en nous jusqu'au plus profond de nos fibres les plus intimes. Alors tout revit et tout vibre sous cet appel d'un souffle nouveau qui nous manquait : nos regards se tournent vers une autre lumière, nos pensées s'élèvent bien au-dessus d'un monde profane...chaque poème de Michel Bénard nous fait gravir un degré dans notre voie d'initiation.'

Préface de Vital Heurtebize à l'anthologie 'L'odyssée d'un intime dialogue' :
Salima Feddal
ou l’émotion spirituelle
Rassemblant les poèmes de sa vie épars dans ses archives informatisées, Salima Feddal a eu la bonne idée de nous en offrir un bouquet : un recueil, un vrai recueil que rien ne saurait remplacer, que l’on va pouvoir tenir dans la main, que l’on feuillettera au gré de notre humeur gaie ou morose, qu’on « oubliera » sur sa table de chevet comme une présence discrète et salutaire à la fin de journées marquées au fil noir de l’existence.
Et Salima Feddal me demande de lui en écrire la préface ! J’accepte par amitié mais bien conscient que ces beaux poèmes en vers réguliers comme en vers libres, n’ont absolument rien à gagner d’une préface : ils touchent eux-mêmes d’emblée au plus sensible, le cœur. Il n’y a donc pas seulement de l’amitié à préfacer cet ouvrage, mais aussi un profond besoin de communier avec le poète, de répondre à son appel.
Car Salima n’écrit pas pour ne rien dire ni pour le simple plaisir d’aligner des mots. Sa poésie veut entraîner le lecteur dans une élévation spirituelle. On ne sort pas indemne de la lecture d’un de ses poèmes : on est pris d’abord par l’écriture. Salima Feddal, comme peu de poètes aujourd’hui, maîtrise parfaitement l’art des vers ! Ensuite et très vitre, on est emporté dans une spirale harmonieuse vers les hauteurs où règne l’Esprit. Quelque soit le sujet, l’émotion spirituelle est là, bien présente.
C’est dire tout le plaisir que j’ai pris à lire et à relire ce recueil ...
Vital Heurtebize
Président de Poètes sans frontières
Pour passer commande de cette anthologie au prix de 15€ merci de m'envoyer un message avec vos coordonnées postales dans la rubrique 'Me contacter' de ce site.


Préface de Michel Bénard Vice-Président de la Société des Poètes Français
Afin de mieux m’imprégner de la vibration poétique de Salima Feddal je me suis laisser transporter par les psalmodies de moines orthodoxes, sorte d’appel à la sérénité.
Aimer est un art, un don du ciel, mais ça ne suffit pas, car il faut cultiver « Le courage d’aimer » où repose le partage, l’empathie, la concorde, l’acceptation de l’autre et l’offrande de soi-même. Ce nouvel ouvrage de la poétesse Salima Feddal nous entraine dans le tourbillon de la vie, où tout est si fragile, si transitoire, tel le reflet d’une image sur la réverbération d’un mirage.
Illusion éphémère, passage étroit où nous rêvons d’éternité. Notre poétesse nous place sur la voie d’un possible retour aux sources, aux racines dans une perspective, qui pourrait restaurer l’univers. Au constat de ce monde étiolé, perdant silencieusement son sens, où règne opprobre, déraison, humiliation, notre poétesse ne désarme pas et au-delà du chaos ose encore croire à la lumière résurgente.
Il y a ici un désir de poésie salvatrice, qui dénonce l’infamie, lorsque tout n’est plus que fracas et hystérie collective. L’espérance d’un monde nouveau est redondante, notre poétesse se fait alchimiste et devant son athanor, elle œuvre dans le secret à transmuter l’innommable aux couleurs de la beauté.
La poésie de Salima Feddal est une écriture qui se donne au monde, qui s’offre simplement au travers d’une versification simple et limpide qui a ce don de nous placer en position de réflexion, en position de confiance, tout se veut conscience, quintessence et transparence.
Nous y croisons des ondes de tendresse, d’étreinte et d’éclats d’amour. Force est de constater qu’il faut bien du courage pour aimer dans un environnement hostile où l’homme tend à se sataniser pour sombrer dans l’obscurantisme et la cruauté.
« Mais moi, je n’ai jamais eu la force de la haine
Il ne me reste plus que celle d’aimer,
Même quand tout sombre et s’effondre. »
En ces trois vers tout est dit. Nous sommes ici confrontés à une poésie de haute intensité humaine, portant à l’introspection où la démarche est porteuse d’une orientation humaniste qui pourrait aider l’homme à s’extirper de sa cécité et de son drame narcissique. Les temps changent, le souffle de la liberté devient court, les dogmatismes oppriment, les espoirs s’inversent.
Néanmoins Salima ne renonce pas « Son âme conçoit un amour universel » chaque poème est une touche révélatrice chargée d’images et de paraboles lumineuses. Et si comme les chamanes nous prenions en compte la parole de l’arbre. Ayant perdu son amour une femme s’en approche : « Dis-moi ô sage arbre, où est-il parti ? » L’arbre soupire : « Dans ton âme, il est enseveli. »
Salima Feddal varie les plaisirs poétiques et n’hésite pas à nous livrer le fruit de ses expériences poétiques sous forme de haïkus dont les jeux réveillent en nous d’étranges images mystérieuses et anecdotiques :
« Bout d’éternité
Suspendu à la rosée
L’âme s’évapore »
« Pureté des cieux
L’arbre danse avec l’aube
Paix immaculée »
L’ouvrage « Le courage d’aimer » tire sa révérence sur des notes plus légères, comme un besoin d’effacer et te tourner à la dérision la fadeur du quotidien. Il faut savoir capter l’essentiel des bonheurs ordinaires qui souvent contiennent une plus forte densité et une plus haute vérité. Ils nous donnent une petite idée de l’éternité.
« Je me dépêche de capter
La beauté de notre monde avant qu’elle ne se dissipe
Dans les interstices de l’oubli.
En attendant ma sublime rime,
J’apporte mon grain de mots d’aujourd’hui. »
Merveilleuse chute, lucide et limpide, belle conclusion d’une poétesse qui comme Arthur Rimbaud se fait voyante et porte son regard au-delà de l’horizon. Elle a conscience que c’est par la poésie que nous sortirons du désespoir pour aller vers l’amour, elle est un cri qui sauvera peut-être l’humanité.
« Comme l’écho salvateur d’un monde nouveau. »
Michel Bénard
Lauréat de l’Académie française.
Chevalier dans l’Ordre des Arts et des Lettres.
Vice-Président de la Société des Poètes Français
Pour passer commande de cet ouvrage au prix de 18€ merci de m'envoyer un message avec vos coordonnées postales dans la rubrique 'Me contacter' de ce site.
